Moins d’1% des décès permettent d’envisager un don d’organes. Il faut que la personne soit en état de mort encéphalique dans un service d’urgences ou de réanimation.
C’est le cas si le cerveau est détruit mais que les organes vitaux ont pu être préservés. Le prélèvement, puis la greffe, sont alors possibles.
Il faut donc agir vite, et rechercher la volonté du défunt.